Décidé, Arno s’embarqua pour une petite virée en ville, histoire de se changer les idées sur les derniers évènements qui s’ajoutaient à la triste histoire que composait sa vie. Il était depuis peu retombé dans l’alcoolisme, espérant un remède ou pourquoi pas un miracle ? Ses études étaient au bord du gouffre, l’envie d’aller au cours ( ou plutôt revoir ses endroits avec tellement de souvenirs ) ne faisait que s’ajouter au mal être qui le parcouraient. Il ne voyait plus du tout ses amis, du moins de près. Il ne sortait plus, à quoi bon pensait-il ? Puis alors cotés des amours, c’était le CHA-OS totale. Après s’être éloignement en consentement avec Marco, il commença à fréquenté Max, cet orgasmique canon avec qui il passait des moments exeptionels et inoubliables. Car Arno n’espérait pas autre chose que le plaisir charnel qu’ils partageaient, mais espérait peut-être que sa pourrait déboucher au bout d’un moment à quelque chose de concret. Et en effet, après des mois, Max annonçait ses fiançailles avec cette catin de Noami, alors que quelque instant avant, Max lui soupirais des mots à l’oreille en l’embrassant. Au diamant en plus, c’étais officiel. Noami allait devenir Madame Kinney. Yeurk, sa sonnait mal en plus, la pauvre. Le pire de tout, c'est que Marco lui manquait terriblement mais ce dernier ne donnait plus signe de vie, surement avait-il eut le temps de faire quelque chose après lui, Arno ne savait pas. D'ailleurs il était perdu, il ne savait plus quoi faire, tout tombait autour de lui. Partis en ville pendant quelques heures, il ne put se changer les idées et oublier tous ses problèmes qu’il avait en tête. Il partit en direction de la demeure des Santos et toqua à la porte pour voir Manny. Car notre jolie Latina savait toujours quoi faire, s’étais le grand MJ [(a)] et Arno espérait qu’elle pourrait peut-être l’aidée à quelque chose. Il entendit des bruits de pas et vis la porte s’ouvrir. Une personne âgée, surement la grand-mère de Manny, demanda à Arno d’attendre que Manny arrive. C’est donc les mains dans les poches et impatient de revoir sa chère amie qu’il attendit sur le porche. Après quelques minutes, elle arriva, aussi resplendissante qu’as l’accoutumée. Arno lui fit la bise et balbutia qu'il espèrait ne pas l’as dérangeait pas, sinon qu’il pourrait repasser plus tard.