Retrouvailles

Quand Carly Priestly avait quitté Degrassi toutes sortes de rumeurs avaient commencé à courrir sur elle et sur les raisons de son départ. La plupat d'entre elles étaient vraies. Oui elle avait suivit une cure de désintoxication. Oui elle en avait profité pour accoucher discrètement et avant terme de l'immonde bâtard qui grandissait dans son ventre. Oui elle avait poursuivi sa vie de débauche dans les plus grands hôtels de luxe de New York en continuant de coucher à droite et à gauche comme si l'enfant qui grandissait loin d'elle n'avait été qu'une erreur. Ce qu'il était, n'est ce pas ? Elle ne savait même pas qui était le père de ce petit garçon. Même si le géniteur était en fait tout désigner. Warhol Empir Priestly avait hérité de grands yeux bruns sauvages et de cheveux ébènes qui n'étaient pas sans lui rapeler ceux d'un certain Chuck avec lequel elle avait effectivement une dizaine de fois. Les dates collaient et les oublis de pillules intenpestifs à cette époque de sa vie. Carly s'était donc dépêchée de quitter la ville avant que son ventre ne devienne énorme comme celui de Liberty et arrangée pour attendre son accouchement sans toucher à la drogue pendant que son père payait de droite à gauche pour étouffer l'affaire et laver le nom souillé de la famille. Mais Carly n'avait pas pu s'empêcher de faire la fête et à peine sept mois son petit garçon pointait le bout de son nez. Il fallait admettre que l'enfant était adorable en grande partie grâce à son capital génétique qui ferait bien des envieux. En voyant ce petit bout d'elle, Carly ressentit assez d'amour maternel pour daigner lui donner un prénom, effrayée à l'idée que les infirmières ne finissent pas lui en donner un banal comme : Raymon ou Thierry. Carly opta donc pour Warhol, le nom de famille de son peintre/artiste favori et Empir pour célébrer l'empire familial Priestly. Un prénom à sa démesure. Elle avait longuement hésité à rajouter Napoleon en troisième prénom mais finalement elle se ravissa. Warhol Empir fut donc chouchouté et aimé... par ses nourrices qui étaient quand même payé pour le faire. Carly retourna à sa vie de célibataire new-yorkaise et friquée. Mais quand son père menaça de lui couper les vivres si elle ne retournait pas en cours, Carly décida de remettre les pieds dans l'une des écoles où elle s'était le plus plu même si l'endroit était un coin perdu : Degrassi. Elle était donc de retour, sans aucune vergeture grâce à une grossesse écourtée et de nombreuses crèmes bien décidée à retrouver ses anciens amis à commencer par Chuck. Elle sonna à la porte de son vieil ami, une fois descendit de la Mercedes conduite par son chauffeur personnel.

Chuck ne dormait pas - plus -, il était dans sa piscine intérieure. Il faisait un peu d'exercices pour garder son beau corp musclé intact. Il avait sur lui, donc, qu'un simple short Fendi noir et blanc. Il avait déjà fait une dixaine de longeurs lorsque sa femme de ménage vint lui informer qu'une charmante personne - donc une femme - venait de sonner a la porte et attendait donc ma venue. Chuck s'essuya le corp, et partit en direction de la porte d'entrée sans enfilé un pull au passage. Il s'en foutait complètement, il ne faisait pas du sport pour rien il me semble. Sur le chemin, il se demandait qui pouvait bien le déranger sans prévenir, espérant que ce n'est pas une nouvelle voisine voilant " Faire connaissance avec le fameux beau Chuck " car cela l'énerverait et il l'a renverrait chier sans aucun problème. Arrivé devant la porte, il ébourrifa un peu ses cheveux, mit un peu des gouttes d'eau par-terre et il ouvrit la porte. Il faut avouer que ce fut un choc. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas vu Carly, et l'attendait quand même car il n'avait eu que de brèves nouvelles, genre un coup de téléphone toutes les trois semaines, ce qui ne ressemblait pas a Carly vu la relation qu'ils avaient. Il était tellement heureux de la voir. Elle n'avait pas changée, toujours aussi belle. Sur le coup, il aurait voulu discuter des heures en fumant clopes sur clopes sur son lit, se prendrait un peu de cocaine, puis baiseraient toute la nuit. Mais non, il ne savait pas trop comment réagir. Il n'allait quand même pas lui sauter dessus, ils ne sont plus au Collège. NON. Mais comment réagir BORDEL ? Il ne voulait pas non plus la prendre dans ses bras, ne sachant pas sa reaction, peut etre viennait-elle pour chercher quelques vêtements oublier chez lui lors de ses visites. Donc il resta face a l'air, l'air stupéfait, et se contenta de sourire , de son sourire irrésistiblement beau et parfait. Tout d'un coup, il se dit qu'il aurait peut-être du mettre un tee-shirt. Et puis Merde, au moins, elle pourrait peut etre se rappeller le bon vieux temps, nous deux ... Il ne pouvait pas quitter son regard d'elle. Il l'aimait tellement. Il commenca donc a lui parler.

- Carly ! Sa faisait longtemps chérie.

Il laissa la porte ouverte et lui fit signe de rentré chez lui.

- Si tu savais comme sa me fait plaisir de te revoir. Tu m'as manqué chérie.

Il voulait lui dire qu'il l'aimait, tellement heureux de la revoir, mais il se dit non, il attendrait un peu.

Carly observait ses ongles qu'elle avait décidé de limé après une bagarre contre une autre fille friquée dans un bar à propos d'une simple partie de baise avec un mec qui était soit disant son fiancé. Soi disant, parce que les fiancés n'étaient pas censés coucher avec d'autres personnes que leur fiancée. Elle allait retourner chez elle quand Chuck se décida à enfin ouvrir la porte. Il était toujours aussi séduisant et parfait qu'elle. Carly posa sa main sur son torse pendant qu'il lui disait qu'elle lui avait manqué et blabla. Que des choses qu'elle savait et dont elle se doutait.

- Toi aussi Honey.

Carly qui avait pourtant prévue de rester habiller au moins dix minutes ne put s'empêcher de fondre devant le corps d'athlète de Chuck. Elle se mordit la lèvre en se rappelant de toutes leurs parties de sexe incroyable dans tous les endroits de leurs superbes maisons et de Degrassi. Elle entra chez lui et dès qu'il referma la porte, le plaqua contre pour l'embrasser fougueusement.

- On baise tout en se racontant tous les trucs nouveaux et passionnants qui se sont passés dans votre vie depuis la dernière fois qu'on s'est vus.

Un sourire malicieux sur les lèvres de la belle, indiquait que ce n'était pas une demande mais une exigeance. Ses mains caressaient déjà les fesses de son meilleur ami-sextoy géant. Elle le mordilla dans le cou et laissa en même temps glisser son trench sur le sol. Carly se tourna vers la femme de ménage de Chuck qui les regardait avec de grands yeux effarés sans pour autant se décider à se bouger. Agacée, Carly qui ne s'arrêtait pas de mordiller et d'embrasser la peau ambrée de Chuck, lui jeta un regard perfide.

- Vous voulez participer peut-être ?

Lorsque Chuck vit Carly lui sauté dessus, il ne put pas la repousser, il ne le voulait pas d'ailleurs. Il commenca a lui enlevé son haut, continuant de l'embrasser. Il y avait la femme de ménage a côté d'eux, qui les regardaient. Mais il s'en foutait merde ! Il savait que lui est Carly était un couple parfait, et que d'autres l'apprennent ne le génait pas. Loin de là. Il pris Carly - qui était a ce moment là en sous vêtement La Perla et l'emmena sur un de ses canapés, qui était juste a côté de la porte d'entrée. Il s'allongea sur un de ses beaux canapés de chez Armani Casa et Carly finit donc a califourchon sur lui.

- Laisse la femme de ménage tranquille Chérie, je lui donnerais un petit billet de 500€ en dédomagement.

Carly se baissa et Chuck l'embrassa fougueusement. Des souvenirs revenaient a la surface. Qu'es-ce que Carly pouvait-elle être bonne Putin ! En plus, il avaiit des sentiments pour elle. Il était aux anges. La femme de ménage, aillant entendu parler de billet de 500€ en dédomagement, partie vite ranger une des autres pièces de sa maison. Car effectivement, dans cette maison, vu le nombre de pièces, il y avait de quoi faire le ménage, croyait moi. Puis Chuck repensa a Carly. Logique vu la position dans laquelle ils étaient en ce moment même. Carly qui lui proposa de raconté ce qui s'était passé pendant son absence. Mais Chuck n'en avait pas vraiment envie.

- On parlera de sa plus tard.

Dit-il en entrainant Carly, qui, forcément finie par s'allonger complétement sur Chuck. Il enleva les sous-vêtements de Carly tout en l'embrassant. Il faut dire qu'il avait l'habitude, donc cela ne lui prit pas beaucoup de temps. Il fit glisser son Short de Bain jusqu'a ses pied, puis l'enleva complètement.

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